L’histoire nous parle des habitants de Batchingou comme des grands guerriers sur le plan mystique.
Exemple de la panthère qui a semé la terreur dans la petite ville de Bangangté était, dit-on, le chef Batchingou, récemment décédé, revenu tourmenter les vivants’’, et il fallait l’intervention de Batchingou pour mettre fin à cette terreur.
Que sur le plan de la combativitée, aucun homme, aucun village ou chef traditionnelle ne pouvait s’attaquer aux intérêts de ce groupement
Revenons un peu à l’histoire qui se dit et se redit par les habitants de ce petit village
1 – nous sommes appellés des MESOUK NKOUEH TI’A ce qui signifie »petit piment chaud »
Nous connaissons tous les effets du piment lorsqu’on s’hasarder de le manger ou même de s’y frotter le piment chauffe tellement et en même temps fait très souffrir si on vous le passé ou nez pou même le pose juste sur vote corps
Et c’est l’éloge des hommes Batchingou bon peut-être avant ils étaient ainsi
2 – les SA’ACK BOUOGOK [ceux qui traversent et brise le pont après eux.]
Brise le pont pas par peur de l’adversaire, mais juste une équivalence ou une illustration c’est à dire après avoir agir, ils mettent des gardes fous pour que les adversaires n’aient plus la possibilité de refaire les mêmes manouvres contre les siens
3 — les DIOCK DIAHAS [qui signifie les combattants des fournir magnans] puisqu’ils ont combattues trois villages en même temps et en sont sortir vainqueurs
4 – TOUCK NDJUI BOUOH GOUHO [ce qui veut dire celui qui creuse la panthère dans sa tanière
A nos jours malgré tous ces atouts qu’avaient ce groupement, les choses depuis une trentaine d’années vont de travers.
On dirait que les dieux de notre groupement nous ont abandonnés
Vivement que les Batchingous s’interroges